L’achat de voiture avec reprise de l’ancien véhicule est une démarche facile pour obtenir un nouveau en s’assurant de la reprise de l’ancienne. Afin de comprendre brièvement le fonctionnement de ces professionnels, il y aura une explication concernant les avantages liés à l’achat de voiture avec reprise. Toutefois, il est possible de négocier avec le professionnel afin d’octroyer plus de bénéfices à l’égard du contrat.

Ce qu’il faut savoir sur l’achat d’une voiture avec reprise

En général, une personne change son automobile tous les 3 à 5 ans, d’où la nécessité d’un nouvel achat de voiture avec reprise de l’ancien véhicule. Avant d’entamer une démarche, il est important d’avoir une certaines connaissances du sujet. En premier lieu, il y a  une évaluation de la valeur de la voiture. Cette valeur est estimée en fonction de la cotation de l’Argus. Une inspection se fera à l’intérieur et à l’extérieur du véhicule. La régularité des entretiens sera prise en compte. Le prix dépendra aussi des kilomètres parcourus par le véhicule. Il est à remarquer qu’il vous est possible de faire une reprise sèche et une reprise avec achat. Le dernier implique une reprise sous condition d’achat. En général, il y a une réduction sur le prix de la nouvelle voiture.

Comment apprécier la rentabilité de l’achat d’une voiture avec reprise ?

Opter pour un achat avec reprise est une solution très pratique car il y a la possibilité de faire une économie de temps. En effet, la reprise et l’achat se font en même temps avec un seul contrat à signer. Toutes les démarches liées à l’administration seront prises en charge par le professionnel ou le concessionnaire. C’est avant tout un moyen sûr et sans risque de fraude. La reprise se fera avec un professionnel, les risques entre particuliers seront bannis. C’est une transaction juste entre les parties concernées.

Les avantages de l’achat d’un véhicule avec reprise de l’ancienne

Vous ne perdez pas de temps dans la reprise de votre véhicule. En effet, la voiture sera reprise sous une durée de 24 heures environ. Dans le cas où le véhicule serait en panne, l’enlèvement de l’auto sera assuré par le professionnel. Il n’y a plus besoin de contrôle technique et les formalités sont simplifiées. De plus, la prise en compte de la cession est garantie à l’avance. Pour la reprise, vous n’avez plus besoin d’attendre la visite du client pour assurer votre revente.

La prime à la casse a été mise en place dans le but de promouvoir la vente de véhicules écologiques. Cela permet de protéger l’environnement en limitant l’émission de CO2. Cette gratification est accordée par l’État. Toutefois, pour l’obtenir, les automobilistes doivent respecter certaines clauses et démarches.

La prime à la casse, principe de fonctionnement

La prime à la casse est une récompense dédiée aux personnes disposant de véhicules neufs émettant peu de gaz carbonique. Le propriétaire obtient la prime suivant un barème préalablement fixé au moment de l’achat de la voiture ou de sa mise en location. Dans le second cas, il doit le louer pendant au moins 2 ans.

Pour obtenir cette gratification, l’automobiliste doit abandonner son ancienne voiture qui rejette plus de CO2 et acheter un véhicule neuf propre. Ainsi, le vieil véhicule doit être détruit. Les voitures d’occasion dotant de vignette Crit’Air de 0 à 2 et émettant moins de CO2 sont aussi concernées par la prime à la casse.

Les actualités sur la prime à la casse pour 2019

Un décret relatif à la prime à la casse en 2019 a été rendu officiel le 28 décembre 2018. Il préconise les conditions d’éligibilité à cette gratification. Ces clauses concernent à la fois le véhicule et le propriétaire. Premièrement, il faut que la voiture neuve achetée émette moins de 122g/km de CO2. En outre, il n’est plus possible pour les personnes morales et les foyers imposables de bénéficier de la prime à la casse lors de l’acquisition d’un véhicule avec vignette Crit’Air 2, soit pour l’achat d’une voiture diesel. Pour les nouveaux véhicules commandés avant le 1 janvier 2019, il y a une période de transition de 3 mois entre les barèmes 2018 et 2019. L’acquéreur bénéficie du système le plus avantageux sous clause que la facture soit parvenue dans les 3 premiers mois.

Les véhicules concernés par la prime à la casse

Hormis les voitures essence et diesel, les véhicules électriques neufs ou hybrides rechargeables neufs, les voitures électriques d’occasion ou hybride rechargeables d’occasion et les motos électriques neuves peuvent être éligibles à la prime à la casse. Le montant de la gratification varie, pourtant, en fonction du revenu du foyer. Pour avoir une prime doublée en 2019, le foyer doit avoir un revenu fiscal de référence maximum de 6 300 € par part. Sachez que la demande d’obtention de la prime à la casse peut se faire en ligne ou par courrier auprès du service gouvernemental.

La Location de Longue Durée ou LLD est un contrat par lequel un particulier ou une entreprise loue une voiture sans option de rachat. Cette formule permet au locataire d’utiliser le véhicule pendant une longue durée tout en gérant au mieux son budget. Elle convient très bien à ceux qui ont tendance à changer de voiture de temps en temps.

Concrètement, qu’est-ce que la LLD ?

La LLD est un contrat de location de voiture proposé aux particuliers et aux entreprises. En contrepartie de l’utilisation du véhicule, le locataire s’acquitte de versements mensuels auprès du loueur. Selon les modalités du contrat de LLD location longue durée voiture, la durée de location varie de 1 à 5 ans. À la différence de la Location avec Option d’Achat (LOA), la LLD n’autorise pas le locataire à acheter la voiture à l’échéance de l’accord. Ce leasing présente de nombreux avantages pour les particuliers. En effet, ces derniers ont le privilège d’avoir un véhicule même si leur budget est moins élevé.

Le calcul des loyers mensuels en LLD

Les mensualités à verser au cours du contrat de LLD sont fixes. Plusieurs éléments entrent en jeu dans le calcul des loyers, à savoir le prix à neuf du véhicule, la valeur résiduelle de la voiture à l’échéance du contrat, la durée de location, le kilométrage effectué au long de la location et les services proposés par le loueur. D’autres paramètres comme la marque et le modèle du véhicule peuvent aussi être pris en compte.

Parmi les services complémentaires proposés par les organismes de financement, on peut citer l’assurance auto, la proposition d’un autre véhicule en cas de panne et l’entretien de l’automobile. À l’échéance du contrat, le locataire remet la voiture au loueur.

Les infos à savoir avant de souscrire à un contrat de LLD

Bien que la LLD soit une alternative à l’achat d’une voiture en cas de budget restreint, certaines conditions sont à respecter pour souscrire à ce contrat. Cela se rapporte, notamment au kilométrage. En effet, celui-ci est forfaitaire et fixé en avance dans les modalités de l’accord. Au cas où le locataire dépasserait le kilométrage préalablement indiqué, il devra s’acquitter de pénalités.

En outre, certains contrats de LLD ne prévoient pas d’apport. Toutefois, en fonction de l’évaluation effectuée par le loueur au début de l’accord, le locataire peut effectuer un dépôt de garantie. Cette caution lui sera remise à l’échéance du contrat. Au terme de l’accord, le locataire peut se soumettre à une nouvelle LLD autant de fois qu’il le souhaite.

Face aux multitudes de choix en termes de solution de mobilité, l’autopartage gagne progressivement en notoriété chez les clients français. Ce nouveau système de location de voiture entre particulier ou non présente en effet de nombreux avantages. La location en autopartage est plus pratique est moins coûteux et moins polluant par rapport aux autres services. Mais comment louer une voiture en autopartage ?

Qu’est-ce que l’autopartage ?

L’autopartage est un système de location permettant aux personnes qui ont besoin de circuler de façon occasionnelle de disposer d’une voiture sans en être le possesseur. Plus accessible avec un coût au kilomètre très bas, le principe est simple. Il suffit tout juste de localiser la voiture stationnée en libre-service à proximité via une appli mobile, de la réserver de réserve quand vous en avez besoin et de la laisser dans un parking lorsque vous ne l’utilisez plus. D’autres autopartageurs peuvent utiliser le véhicule le reste du temps. Contrairement à d’autres offres, les abonnés à ce service ne s’inquiètent plus de l’assurance, de l’entretien ou encore du parcage de la voiture. Tout est à la charge de l’entreprise qui offre le service d’autopartage comme pour le cas du plateforme d’autopartage Drivy.

Comment louer une voiture en autopartage ?

Les voitures en libre-service en autopartages sont généralement accessibles via des applications téléphoniques. Il suffit donc de trouver une entreprise d’autopartage en ligne selon votre emplacement et le genre de véhicule dont vous avez besoin. Si vous parvenez en trouver, inscrivez-vous. L’inscription peut être gratuite ou payante en fonction de la société. Il se peut que vous payiez un montant supplémentaire tel que le montant de garantie et l’abonnement mensuel à part le montant d’inscription selon la société. Vous obtiendrez un badge magnétique dans le plus bref délai qui vous permettra d’accéder à votre voiture. Un badge qui vous permettra également d’ouvrir et généralement de démarrer la voiture.

Quel avantage de louer une voiture en autopartage ?

Ce système est plus économique pour les utilisateurs puisqu’ils se libèrent des coûts reliés à l’achat d’un véhicule et n’a plus besoin de se soucier de l’entretien, l’assurance, le carburant, le parking… Louer une voiture en autopartage permet également de maximiser ses trajets. Les véhicules en libre-service sont pour la plupart des services d’autopartages localisable via application mobile. Une appli qui vous permet en même temps de réserver une voiture à tout moment, 7 j/7 et 24 h/24 dès que vous en avez besoin.

N’oubliez pas de vérifier toujours l’état du véhicule et la validité de sa fiche. Afin d’éviter tout risque d’accident, il est utile de signaler les problèmes apparus lors de votre trajet. Toutes les fins du mois, vous obtiendrez une facture qui indique votre kilométrage, la durée de la location et le montant à payer.

Le véhicule hybride intègre deux technologies de moteur pour produire de la puissance tout en réduisant l’impact sur l’environnement. Le moteur thermique et le moteur électrique s’associent pour délivrer une circulation du véhicule plus propre. Mais, les différents modèles de voiture hybride proposent chacun des avantages et caractéristiques capables de s’adapter aux méthodes de circulation.

Les modèles de voitures hybrides

Tous les modèles de voiture hybride est équipé d’une technologie permettant de recharger la batterie durant les phases de freinages. La voiture hybride classique ou full-hybride correspond au modèle le plus populaire parmi les modèles sur le marché, elle est équipée d’un moteur thermique à combustion et électrique permettant de réduire la consommation de carburant, mais ne propose pas une conduite en alternant l’énergie primaire.

Le modèle hybride rechargeable est également équipé d’un moteur à combustion et électrique accompagné d’une capacité de batterie importante, offrant la possibilité de rouler en mode électrique à des vitesses plus élevées. La batterie peut être rechargée par le biais d’une source externe et nécessite toutefois un entretien plus fréquent.

Les hybrides légers possèdent les deux types de moteurs fonctionnent exclusivement à travers le moteur thermique, le moteur secondaire assiste uniquement le moteur principal pour des tâches d’accélérations et de démarrages. Ils restent nettement plus abordables par comparaison aux voitures hybrides traditionnelles.

Les avantages d’une voiture hybride

Opter pour un véhicule hybride est directement perçu comme une action afin de réduire l’émission de carbone dans l’atmosphère, en effet, rouler dans une voiture hybride contribue à diminuer l’impact environnemental des déplacements quotidiens tout en maintenant une efficacité de transport intacte. La conduite sur de long trajets est réalisée en alternant les énergies primaires et offrent la possibilité de circuler dans une ville exclusivement sur la base du moteur électrique.

L’utilisation de moteur et matériaux plus légers rendent ces véhicules très économes en termes de consommation de carburant et maintiennent une valeur marchande relativement élevée dans les cas où les propriétaires décident de revendre leurs voitures hybrides.

L’hybride idéal

Le choix du véhicule hybride détermine le type de conduite ainsi que l’économie de carburant par le fait que chaque modèle propose un mode de conduite adapté à leurs caractéristiques. Les modèles full-hybride et hybride rechargeable sont principalement destinés à l’économie de carburant mais viennent à un prix significativement supérieur par rapport aux mild-hybrides, qui consomment légèrement moins de carburant qu’un véhicule à moteur thermique. Il faut néanmoins remarquer que le moteur électrique peut se révéler être un poids mort pour tous les modèles de voitures hybrides et entraîner une surconsommation à des vitesses élevées, principalement sur les autoroutes.

Les véhicules hybrides sont équipés d’un moteur thermique à combustion en plus d’un moteur électrique complémentaire dans le but de diminuer la consommation de carburant. Les modèles de voitures hybrides offrent différentes caractéristiques et associent deux technologies pour bénéficier des avantages qu’offrent chacune d’elles.

La voiture hybride « classique »

Les voitures hybrides standards, aussi appelée full-hybrides représentent le modèle le plus populaire des véhicules axés sur le respect de l’environnement, elles disposent de deux moteurs : un moteur thermique principal et un autre électrique pour déplacer le véhicule à de faibles vitesses et assister lors des accélérations. La consommation de carburant est réduite significativement, par exemple 5L / 100 km pour une Toyota Yaris hybride, l’utilisation de technologie de freinage avancée offre un confort de conduite supérieur (manœuvre, silence, etc.) et permet un rechargement de la batterie placée sous la banquette arrière lors des phases de freinages et de décélérations.

La voiture hybride classique vient toutefois avec un prix relativement élevé par rapport à un modèle thermique et requiert un investissement plus important de la part de l’acheteur depuis la suppression du bonus écologique. La batterie possède une faible capacité et se caractérise par un poids mort ce qui entraîne une surconsommation à vitesses élevées en plus de l’impossibilité d’alterner entre l’utilisation de l’essence ou électricité comme énergie primaire.

Les hybrides rechargeables

Ce modèle appelé « plug-in hybrid » ou PHEV dispose également de deux moteurs, le conducteur peut sélectionner le mode de conduite et le véhicule peut rouler à des vitesses plus élevées en mode 100 % électrique. La capacité de la batterie est plus importante comparée à une voiture hybride classique et peut être rechargée par une source extérieure (durée de rechargement comprise entre 3 et 4 heures) en plus du rechargement par freinage. Les véhicules rechargeables ont une consommation de carburant très faibles, 1L / 100 km en peuvent fonctionner en mode hybride sur de longues distances.

Le prix d’achat de ce modèle reste cependant élevé (ex : 36 900 € pour la Toyota Prius rechargeable) et nécessite un entretien plus fréquent du fait de la présence de deux moteurs à grandes puissances. L’hybride rechargeable souffre aussi d’une surconsommation à vitesses élevées, causée par l’inactivité du moteur électrique.

Mild-hybrides

Les véhicules mild-hybrides diffèrent des voitures hybrides traditionnelles par le fait que son moteur électrique sert uniquement à assister le moteur principal et ne peut fonctionner exclusivement sur l’énergie électrique. La batterie possède une capacité plus légère mais garde la capacité de rechargement par cinétique de freinage et se montre plus efficace dépendant des réglages.

Les modèles mild-hybrides ont tendances à émettre un taux supérieur de carbone par rapport aux hybrides conventionnelles et ces derniers ne peuvent circuler que par le biais d’énergies fossiles, ils présentent néanmoins un coût de production inférieur par contraste aux voitures hybrides classiques.

Les bornes de recharges permettent de recharger la batterie d’un véhicule électrique en fonction de son niveau de puissance et les stations de recharge publiques délivrent une puissance supérieure entraînant une réduction du temps de recharge. La voiture électrique est perçue comme une alternative aux voitures thermique mais le coût de recharge ainsi que de consommation d’énergie sont-ils avantageux pour les mettre en avant ?

La recharge à domicile

La consommation d’une voiture électrique est influencée par plusieurs facteurs (capacité de la batterie, mode et vitesse de conduite, etc.) déterminant les fréquences de rechargement, l’unité de mesure change également par rapport aux véhicules à essences, passant de litre aux cent kilomètres (L / 100 km) à kilowattheure aux cent kilomètres (kWh / 100 km). Recharger sa voiture électrique à domicile soulève automatiquement la question si la facture d’électricité va grimper pour les particuliers, en effet, une consommation moyenne de 12 KWh / 100 km coûte à la base 1.76 € / 100 km, avec 1.89 € / 100 km en heure pleine et 1.47 € / 100 km durant les heures creuses.

Il est possible de configurer les véhicules pour qu’ils enclenchent le rechargement pendant les heures creuses mais peut ne pas être profitable si la borne ne délivre pas une puissance adaptée à celle de la batterie. Une puissance de batterie de 20 kWh prend un temps de recharge moyen de 5h 30mn sur une borne à 3.7 kWh, 3h à 7 kWh et 1h 15mn pour une borne à 22 kWh. Le prix dépend des modèles et se situe entre 500 € et 1 500 € en plus de cumuler les coûts d’installations.

Les bornes publiques

Recharger un véhicule électrique sur une borne publique peut être gratuit ou propose des abonnements pour un coût de rechargement réduit, les tarifs de charges atteignent généralement 0.25 € / 15 mn à la première heure à 4 € / 15 min au-delà. Combiner les méthodes réduit le coût de recharge en général mais pour diminuer la facture d’énergie, les particuliers peuvent se tourner vers de l’électricité venant de fournisseurs alternatifs ou opter pour l’électricité verte.

Les personnes souhaitant emmener leurs voitures électriques sont susceptibles d’être victime des opérateurs qui peuvent facturer le service assez cher, par exemple en Angleterre, l’éco-électricité s’élève à 0.17 £ / kWh + 3 £ à chaque recharge initiée soit 8.1 £ (environ 9 €) pour le plein de 30 kWh.

Thermique vs électrique

Réaliser l’achat d’un véhicule électrique est comparable à un véhicule thermique (avec l’aide du bonus écologique), celle-ci vaut nettement moins de 2 € / 100 km par contraste aux voitures thermiques, coûtant 6.16 € / 100 km pour un modèle diesel et 7.44 € / 100 km pour l’essence en termes de consommation d’energie. La voiture électrique est significativement plus économique mais présente néanmoins un inconvénient, représentée par la pollution engendrée par les batteries.

Prix en baisse, autonomie en hausse, multiplication des modèles sur le marché, la voiture électrique suscite de plus en plus d’un intérêt. Et même si l’offre en matière de voiture électrique est moins large par rapport aux voitures thermiques, il est souvent difficile pour un novice de s’y retrouver pour choisir sa voiture électrique. Autonomie, équipements, … Voici les principaux critères à prendre en compte pour faire le bon choix.

Autonomie de la batterie

L’autonomie de la batterie est sans doute le critère numéro un à voir pour choisir sa voiture électrique. Actuellement, l’autonomie moyenne d’une voiture électrique est de 140 km, mêmes si certaines marques haut de gamme annonce une autonomie allant jusqu’à 400 km. Il faut également savoir qu’il subsiste une légère différence entre l’autonomie proposée par les constructeurs et l’autonomie en condition réelle. L’autonomie de la batterie dépend de sa capacité, mais aussi de la façon de conduire de chaque utilisateur et bien sûr des conditions climatiques. En effet, une température basse (en hiver) fait baisser les performances du véhicule sans compter l’utilisation du chauffage qui est énergivore. Comme pour les voitures à combustion thermiques une conduite sportive augmentera la consommation de la batterie.

La recharge : chargeur embarqué et charge accélérée

La partie recharge est aussi un aspect important lors de l’achat de sa voiture électrique. Il y a deux choses à prendre en compte. Premièrement, le chargeur embarqué à bord de la voiture, dont la puissance définie la rapidité du temps de charge du véhicule. Le standard sur toutes les voitures est de 3 kW, mais certaines marques proposent une puissance à 7 kW de série ou en option voire même du 22 kW. Deuxièmement, un connecteur rapide en Combo ou en CHAdeMO permettra une recharge rapide jusqu’à 80 % en 30 minutes, indispensables pour ceux qui font régulièrement de longs trajets.

Ne pas négliger les équipements

Au moment de choisir sa voiture électrique, on se focalise surtout sur l’autonomie, la capacité de la batterie, la recharge et on a tendance à oublier qu’une voiture c’est aussi les différents équipements qui seront utilisé tout le jour (toit ouvrant, Apple Car Play, assistance à la conduite, radar de recul, navigation GPS, etc.) qui sont tout aussi important. Vu que les températures hivernales nuisent aux performances de la voiture, il serait intéressant d’opter pour l’option pompe à chaleur, une solution beaucoup moins énergivore qu’un chauffage normal. Idem pour les sièges chauffants permettant de mieux concentrer la chaleur pour consommer moins. Faire une « check list » serait idéale pour ne pas oublier les équipements que vous souhaitez équiper à votre véhicule.

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