Si vous souhaitez louer une voiture, il est indispensable de bien lire le contrat d’assurance. Certes, votre attestation d’assurance est valide en cas de contrôle des agents de police, mais ce qu’il est bon à savoir également c’est votre assurance en cas d’accident.

Location de voiture sur des sites spécialisés : une assurance spécifique automatique

Louer une voiture se fait soit auprès d’une agence de location soit via les sites spécialisés en location entre particuliers. Avant de faire la location, il est nécessaire de vérifier le contrat d’assurance établie soit avec les professionnels de locations soit avec le site de location. Il est important de savoir les garanties que vous avez. En général les services de location proposent avec le contrat de location une assurance tous risques qui couvre la responsabilité civile et tous les dégâts matériels causés à la voiture en cas de sinistre. Le locataire doit régler une partie ou la totalité des réparations de la voiture en cas d’accident responsable en fonction des clauses du contrat. Le propriétaire est également protégé par ce contrat d’assurance spécifique, il ne perd pas son bonus et il n’a pas à régler une franchise en cas d’accident même responsable de la part du locataire, c’est le cas de la couverture d’assurance Drivy. Optez pour une telle assurance automatique pour plus de tranquillité en route.

Assurance auto des particuliers : une couverture minimum

La location de voiture entre particuliers est aussi soumise à une assurance obligatoire. Si vous avez décidé de louer votre voiture sans passer par un intermédiaire, sachez que la location est différente du prêt de véhicule. Pour ce dernier, les conducteurs devraient faire partie des membres de la famille ou des proches. En général, une assurance auto classique ne garantit pas les trajets à but commercial tels que la location. Ainsi, en cas d’accident causé par le locataire, la responsabilité sera au propriétaire. Vérifiez donc votre contrat d’assurance auprès de votre compagnie d’assurance et ajoutez cette option en cas de besoin pour adapter le contrat si c’est faisable vu que certains assureurs n’ont pas cette couverture.

Les garanties indispensables quand on loue une voiture

Les démarches de déclaration de sinistre sont différentes pour une location à travers une plateforme de mise en relation et pour une location sans intermédiaire. Alors en fonction de votre cas, vous allez contacter respectivement soit le site de location soit le propriétaire de la voiture. Dans les deux cas, il faut que le contrat contienne les garanties dommages au véhicule et les garanties dommages corporels tout conducteurs pour être remboursés si jamais le locataire est en tort.

À part les agences de locations, il existe également une autre méthode pour louer sa voiture. Le système de location de véhicule entre particuliers est un moyen rentable pour le locataire ainsi que le propriétaire. C’est une solution efficace pour faire des économies ou pour rapporter de l’argent.

Des sites spécialisés de location de voiture entre particuliers : une intermédiaire moderne

La location de voiture entre particuliers devient possible grâce aux intermédiaires qui facilitent la rencontre entre les locataires et les propriétaires. Il existe des sites spécialisés pour louer sa voiture à des particuliers, ils ont chacun leur propre organisation pour mettre les voitures à la disposition des locataires. Certains sites utilisent un boitier qui sera installé au bord de la voiture afin de réserver, localiser, contrôler et déverrouiller la voiture. C’est le cas de Drivy Open, une technologie qui donne aux locataires l’accès aux voitures qu’ils souhaitent louer avec leur smartphone.

Fonctionnement des sites spécialisés en location de voiture entre particuliers

Pour mettre sa voiture en location, il suffit de choisir une plateforme spécialisée en location de voiture entre particuliers. En général, le site demande une description du véhicule et les jours de disponibilités pour le louer. Après l’établissement du contrat sur le site, le boitier sera mis en place dans votre voiture afin d’ouvrir et de fermer les portes de la voiture et de la pister à distance. Si une personne souhaite réserver votre voiture, vous serez notifié par message ou par courriel. Vous avez un délai minimum, qui dépend du site, pour refuser ou accepter cette demande. Quand vous acceptez la location, le locataire effectuera le paiement à l’avance. Les deux parties ont le droit de renoncer à la location à tout moment.

L’assurance auto pour éviter les risques en cas de location de véhicule

Le site de location doit faire des vérifications de l’identité de tous les locataires et établir un contrat de location pour assurer la sécurité du véhicule. Mettre sa voiture en location peut avoir des risques, car on livre sa voiture à un inconnu. Il est possible que la personne qui va réserver la voiture effectue une infraction aux codes de la route, un accident, ou même un vol. C’est pour cela que les sites insèrent une assurance auto spécifique pour location de voiture au contrat de location qui sera à la charge du locataire. Cette assurance remplace donc celle du propriétaire.

Le contrôle  technique d’un véhicule a plusieurs utilités. Il s’agit d’une étape obligatoire pour toutes les voitures ayant plus de 4 ans.  Le contrôle technique doit généralement être réalisé tous les 2 ans auprès d’un centre agréé. Toutefois, vous pouvez faire contrôler votre véhicule avant sa mise en vente ou encore avant d’effectuer un long trajet.

Un contrôle pour une meilleure prévention des accidents

De plus en plus d’accidents sont provoqués par des voitures vétustes. Le contrôle technique représente un moyen de déceler tous les dysfonctionnements mécaniques et techniques rencontrés par un véhicule.  A l’issu de ce dernier, le propriétaire devra procéder aux réparations nécessaires. Mis à part son rôle sécuritaire, le contrôle technique permet également de s’enquérir sur le niveau de pollution émise par une voiture. Il doit obligatoirement être réalisé par tous ceux qui souhaitent vendre leur véhicule afin que les acheteurs puissent connaître avec exactitude l’état de l’auto qu’ils convoitent.

En quoi consiste le contrôle technique ?

Il s’agit tout simplement d’un examen à effectuer auprès d’un centre technique visant à faire contrôler l’état de son véhicule. Le contrôleur va vérifier les principaux organes du véhicule pour s’assurer de leur bon fonctionnement : direction, système de freinage, éclairage… Il va également vérifier si l’auto respecte parfaitement les normes en ce qui concerne la pollution. En fonction de l’état du véhicule et du nombre de défaillances relevées, il peut soumettre le véhicule à une contre-visite. L’objectif principal du contrôle technique est en effet de réduire au maximum les accidents de la route. Le gouvernement français mise également sur cette mesure afin d’assainir le parc automobile, en limitant la circulation de vieux véhicules. Ces derniers ne sont d’ailleurs plus conformes avec la réglementation et les objectifs environnementaux.

Le contrôle technique : pour qui ?

Tous les véhicules ne sont pas soumis au contrôle technique. Ainsi, les caravanes, les tracteurs, les véhicules sans permis et les motos à 2 ou 3 roues en sont exempts. Bien que le contrôle technique doit normalement se faire tous les 2 ans, chaque propriétaire est libre de faire vérifier l’état de leur auto volontairement.  Il s’agit ici d’une mesure préventive. Cela peut notamment se faire avant les vacances ou lorsque l’on doit parcourir plusieurs kilomètres en voiture.  Ce contrôle technique dit volontaire est aussi conseillé après un accident. Sinon, si le propriétaire constate plusieurs points défectueux sur son auto, il peut directement  se rendre auprès d’un garage ou d’un centre technique pour le faire vérifier.

Pour garantir le bon fonctionnement de votre véhicule, vous devez choisir une huile moteur parfaitement adaptée à celui-ci pour le lubrifier. En plus de contribuer au refroidissement du moteur, elle a aussi pour rôle de maintenir le moteur propre et de prévenir l’usure de ses composants. Elle contribue par conséquent à garantir la durée de vie du moteur. Alors, comment bien choisir l’huile moteur de votre voiture ? Le point.

Tenir compte des indices de viscosité

L’indice de viscosité est le premier élément que vous devrez prendre en compte au moment de choisir l’huile moteur de votre véhicule. Si vous possédez un véhicule avec un moteur récent, optez pour une huile ayant comme indice de viscosité 5w30 ou 5w40. Ce type d’huile est aussi conseillé aux automobilistes ayant tendance à beaucoup solliciter leur auto et les gros rouleurs. Les huiles semi-synthétiques, ayant comme indice de viscosité 10w40 sont adaptés pour les trajets mixtes. A l’instar des huiles synthétiques, elles optimisent aussi le démarrage à froid du moteur. Les huiles minérales (15w40) sont recommandées pour les voitures à essence anciennes ou pour les véhicule diesel sans turbo. Avec cette huile, une vidange auto régulier est indispensable.

Vérifier les normes

Pour choisir la bonne huile moteur avec laquelle entretenir sa voiture, il incombe aussi de prendre en compte les normes adaptées à son type de véhicule. Pour cela, vous pouvez demander l’avis d’un professionnel ou vous baser tout simplement sur le manuel de votre voiture. Les normes affichées au dos des bidons d’huile moteur permettent de se faire une idée sur leurs performances et de savoir précisément pour quel type de moteur elles sont préconisées. Ces indications permettent aussi de connaître si elles respectent des recommandations propres à un constructeur en particulier.

Bien choisir la marque

Les marques d’huile moteur sont légion et les prix varient considérablement d’une marque à l’autre. Généralement, les huiles 100% synthétiques sont plus chères que les huiles semi-synthétiques ou les huiles minérales. Outre les prix, il faut aussi s’enquérir sur le niveau d’additif injecté par les fabricants dans chaque huile moteur. Les huiles avec une quantité importante d’additifs sont les plus onéreux.  Vous n’êtes pas obligé de vous tourner vers une marque en particulier ni vers celle préconisée par votre constructeur automobile. Assurez-vous tout simplement de choisir une huile moteur qui respecte parfaitement ses recommandations pour garantir la pérennité de votre moteur. Si des doutes subsistent, n’hésitez pas à demander conseil auprès d’un professionnel.

En faisant une carte grise ou certificat d’immatriculation, vous devez payer diverses taxes. Leur coût varie selon la région où vous prévoyez d’immatriculer votre voiture. Cependant, il arrive que la carte grise soit gratuite. Dans certains cas, seuls les frais d’expédition sont à payer.

Changement d’adresse

Si vous changez de domicile, vous disposez d’un délai d’un mois pour procéder au changement d’adresse sur votre ou vos cartes grises dans le cas où vous avez plusieurs automobiles. Si vous dépassez ce délai fixé légalement, vous vous exposez à une amende en cas de contrôle.

Grâce au nouveau système d’immatriculation des véhicules, vous avez la possibilité de faire une demande de carte grise en ligne. Sinon, vous pouvez également entrer en contact avec un professionnel agréé.

Il est à noter que la démarche est gratuite du premier au troisième changement d’adresse. Elle se présente sous la forme d’une étiquette à coller sur la carte grise. Ainsi, pour un quatrième changement d’adresse vous aurez une nouvelle carte grise. Même si elle est gratuite, vous aurez à payer la taxe d’expédition.

Si vous optez pour la prestation d’un professionnel (en allant sur place ou en faisant une demande de carte grise en ligne), vous devez savoir qu’elle sera facturée. Mais le changement d’adresse sera tout de même gratuit.

Carte grise comportant des erreurs

L’administration veillera à vous délivrer gratuitement une nouvelle carte grise si la vôtre contient des erreurs alors que vous avez bien fourni tous les justificatifs nécessaires. Sachez toutefois que si l’erreur affecte le coût de la carte grise (code postal incorrect, puissance fiscale erronée, taxe sur les automobiles polluantes erronée, etc.), selon le cas, vous aurez à payer la différence des sommes dues ou bien l’administration vous remboursera une fois la correction de la carte grise faite.

Il arrive également que l’administration ne mette pas certaines informations (deuxième prénom par exemple) sur votre carte grise. Elles sont enregistrées par ses services. Il ne s’agit donc pas d’une erreur.

Changement d’immatriculation

Certaines situations obligent les propriétaires d’automobiles à changer d’immatriculation. C’est notamment le cas lorsqu’il y a usurpation d’immatriculation. Il s’agit alors de doublon. Cela arrive quand des personnes malveillantes utilisent de fausses plaques d’immatriculation pour esquiver les contrôles et les radars automatiques. Si vous êtes victime d’un tel cas, vous aurez une nouvelle immatriculation et vous n’aurez pas à payer votre carte grise.

Vous pouvez accéder au site du gouvernement pour vous renseigner sur le prix de votre nouvelle carte grise. Les simulateurs en ligne mis en place vous seront d’une grande aide pour connaître les taxes appliquées dans votre région.

Les vérifications quotidiennes font partie du réflexe du bon conducteur. Cette habitude est d’autant plus importante si vous vous préparez à partir loin. Trois points essentiels méritent une attention particulière pour une vérification sure.

Regarder tout ce qui concerne les roues

Quand vous partez en voiture, il est important de vérifier régulièrement les éléments autour de la roue : les pneumatiques et les freins. En ce qui concerne les pneumatiques, il faut vérifier leurs usures et leurs gonflages. Pour procéder à la vérification de l’usure, il suffit d’observer le témoin, la petite bande un peu en relief au fond des sculptures. Plus le témoin est proche de la surface, plus votre voiture risque de ne pas tenir la route, surtout sur du revêtement mouillé. Pour le gonflage, la pression des pneumatiques doit toujours respecter la prescription du constructeur. Une surpression rend la tenue de route plus difficile, et une sous-pression accentue l’usure des pneumatiques. Une fois les pneumatiques vérifiés, il faut s’atteler à la vérification des freins. Pour cela, il faut vérifier l’épaisseur des plaques, celle-ci ne doit pas être inférieure à 3 mm. En ce qui concerne votre frein à main, si vous constatez qu’il monte trop haut, plus de 5 crans, avant de tenir, il faut contacter un professionnel.

S’occuper de la signalisation

La signalisation est un élément primordial pour la sécurité en route, car elle assure votre sécurité et celle des autres personnes et automobilistes. Un clignotant claqué manquera de signaler aux autres voitures votre direction, ainsi le conducteur appuiera trop tard sur les freins. Il en va de même pour les feux de stop. Heureusement, la vérification de ses feux est très simple. Le rythme du clignotant sur le tableau de bord est plus soutenu lorsqu’un de ses feux ne fonctionne pas correctement. Vous pouvez aussi demander à quelqu’un d’observer les feux pendant que vous les actionnez. Pour les phares, il faut s’assurer que les optiques soient propres pour un éclairage optimal et régler leurs angles ne pas éblouir, mais éclairer la route.

Jauger les différents fluides

Une vérification que tout propriétaire de véhicule doit faire chaque matin concerne l’état des fluides. Le contrôle du liquide de refroidissement est le grand incontournable, son niveau doit être dans les limites indiquées sur le bocal. Par la  suite, il faut vérifier l’huile moteur, les liquides de freins et de direction assistée. Une fois ceux-ci en règle vous pouvez porter votre attention sur le lave-glace. Dans tous les cas, vous devez respectes les limites mini-maxi des fluides. Si le niveau est trop bas, cela accélère l’usure des pièces, trop élevée, c’est le réseau de distribution qui risque d’éclater sous la pression.

Vous allez bientôt déménager et vous souhaitez louer un utilitaire qui va transporter vos affaires à votre nouvelle adresse. Mais parmi les différents types de camions et les volumes de stockage disponible, vous ne savez pas lequel choisir. Allant de 10m3, 40m3 à 100 m3, comment connaître le véhicule et le volume qui correspondront à vos besoins ?

Calculer son volume de déménagement : les meubles les plus encombrants

Pour calculer son volume de déménagement, vous devez d’abord connaître le volume de la maison ou du local. Puis, il est conseillé de trier et faire une liste des meubles et des cartons à déménager.

Certains mobiliers peuvent être démontés. D’autres doivent être transportés tels quels, ou avec des protections en plus. Voici quelques exemples type. Un fauteuil, un canapé 2 places ou un canapé d’angle occupent respectivement 0,80m3, 1,30m3 et 2,50m3. Un lit 1 place à 2 places fait entre 0,70m3 et 1,20m3. Une table de chevet fait 0,1m3, une table  0,7m3, et une armoire 1,5m3. Un lave-linge, un lave vaisselle ou une gazinière occupent environ 0,30 m3, contre 0,5 à 1,15m3 pour un réfrigérateur, et 0,90m3 pour un meuble TV.

Calculer son volume de cartons à déménager

Le jour J, les déménageurs viendront pour transporter vos meubles, mais aussi valises et cartons. Dans ces derniers, il peut y avoir des objets fragiles qui ont besoin d’une couche de protection supplémentaire. Les cartons et leur emballage de protection prennent également de la place. Il est conseillé de rajouter une marge pour obtenir le volume de déménagement approximatif. Le volume de 10 cartons standard de 50 x 40 x 35 cm est de 1 m3. Pour 10 cartons de livres (35 x 28 x 30 cm chacun), vous aurez environ 0,5 m3.

Calculer son volume de déménagement pour bien choisir son utilitaire

Les camions de déménagement varient de 10m3 à 100m3. Il est important de bien choisir le volume adapté à vos besoins pour limiter vos dépenses de location. Après avoir démonté vos meubles si possible et mis en cartons le reste de vos affaires, prenez le temps de calculer le volume de déménagement selon les astuces ci-dessus. Pour un petit volume, vous pouvez opter pour une fourgonnette. Si toutefois le volume d’affaires à déménager est important, un grand camion est indispensable. Certains sont équipés d’un élévateur ou d’un hayon pour faciliter le chargement et le déchargement, surtout pour les logements à l’étage.

La production des véhicules à moteur thermique est actuellement en constante diminution au profit des véhicules électriques. En effet, pour des raisons environnementales, ces nouveaux types de véhicules sont moins polluants que ceux roulant au diesel ou à l’essence. En France, les consommateurs commencent à s’intéresser aux véhicules électriques. Certes ces derniers ne sont pas encore les plus vendus mais certains modèles sont plébiscités. Quels sont donc les modèles de voitures électriques les plus vendus en France ?

Les modèles français : la Renault « Zoé »

Tous les constructeurs tricolores se sont mis à la fabrication de voitures électriques que ce soit PSA ou Renault. Ce dernier domine le marché des voitures électriques françaises avec son modèle « Zoé ». Le modèle en question est celui arrive en tête des ventes et a été plébiscité par plusieurs automobilistes français. Avec une autonomie moyenne de 170 kilomètres, une « Zoé » ne consomme qu’aux alentours de douze kilowatts au cent kilomètres. Son point fort c’est surtout le confort de conduite et le coût d’utilisation et d’entretien qui est en général réduit. Ce véhicule électrique est pratique en ville pour des raisons économiques, mais surtout écologiques avec l’exonération de certaines taxes pour son propriétaire. Elle se décline en plusieurs variantes avec une première production qui date de 2012.

La japonaise Nissan Leaf

Le choix des Français est majoritairement axé sur les voitures françaises quand il est question de véhicules électriques. Mais cela n’empêche pas l’arrivée d’autres marques de voitures sur l’Hexagone. Ainsi le constructeur japonais Nissan propose sur le marché français un modèle de voiture électrique, en l’occurrence la « Leaf ». Ce modèle a déjà séduit de nombreux automobilistes européens avec son autonomie pouvant dépasser les 270 kilomètres. En plus d’être écologique, la Nissan Leaf est également équipée de la technologie de conduite intelligente qui séduit de plus en plus d’automobilistes. Pour les plus exigeants, le modèle Leaf E+, est plus performant que le modèle basique et ce dernier qui est le plus vendu.

L’allemande BMW i3

BMW est également entré dans le marché des voitures électriques avec son modèle « i3 ». Il s’agit de l’un des modèles les plus appréciés par les Français compte tenu de son autonomie pouvant atteindre les 300 kilomètres. Équipée de la technologie eDrive, cette voiture récupère automatiquement les énergies jusqu’à hauteur de 50kW. Bien qu’il s’agisse d’une voiture électrique, le confort de conduite et l’intérieur sont les deux critères privilégiés par les français lorsqu’ils envisagent l’achat de tels véhicules.

L’autonomie de la batterie constitue un critère important pour acheter ou louer une voiture électrique. Mais quels sont les facteurs qui déterminent cette autonomie ? Trouvez les explications dans cet article.

Autonomie moyenne de la batterie d’une voiture électrique

L’autonomie moyenne annoncée par les constructeurs varie entre 150 km à 400 km. En revanche, l’autonomie réelle de la batterie d’un véhicule électrique est comprise entre 100 km à 300 km. Si on regarde ces chiffres, on peut dire que les voitures électriques sont plutôt destinées à des usages au quotidien. Plus précisément, il est préférable de les utiliser sur de courts trajets.

L’autonomie dépend de quoi ?

Vous devez savoir que la batterie est l’élément le plus onéreux qui constitue un véhicule électrique. C’est la puissance de cette batterie qui détermine en premier l’autonomie qu’elle peut fournir. Ainsi, plus la batterie est grosse, plus elle est puissante. Par contre, cela va alourdir le véhicule. D’un autre côté, une batterie trop légère manquera de puissance. En passant, sachez que le poids moyen d’une batterie pour voiture électrique est de 300 kg.

À part cela, l’autonomie dépend également du type de batterie utilisé par le constructeur. Il existe aujourd’hui 4 types sur le marché : Lithium-ion polymère, Lithium-ion, Lithium métal polymère, Batterie à électrode et électrolytes.

Ensuite, votre style de conduite est aussi à prendre en compte. Si vous aimez la vitesse, le risque de panne sèche est élevé. De ce fait, si vous voulez faire plusieurs kilomètres avec votre voiture, roulez à une vitesse modérée. De plus, les conduites agressives peuvent réduire l’autonomie jusqu’à 10 %. Adoptez donc un style plus économique, c’est-à-dire souple et calme.

Autres facteurs qui affectent l’autonomie

L’utilisation des options « confort » est à bannir si vous voulez avoir plus d’autonomie. En effet, la climatisation et le chauffage nécessitent l’utilisation de courant électrique ce qui va réduire la puissance de votre batterie.

Enfin, il est nécessaire de savoir que le grand froid affecte également la puissance de la batterie. Quand la température extérieure est en dessous de 0 °C, la batterie ne propose plus la même puissance. De plus, vous serez obligé d’allumer le système de chauffage. En conséquence, vous pouvez avoir une baisse d’autonomie jusqu’à 41 %.

En somme, l’autonomie moyenne d’une voiture électrique dépend tout d’abord de la qualité de sa batterie et d’autres facteurs. Vous avez pu voir les principaux éléments à savoir concernant cela. Ces points vous seront utiles avant l’achat d’une voiture électrique.

L’acquisition d’une voiture doit être un investissement mûrement réfléchi, l’acheteur doit prendre en compte plusieurs paramètres. Parmi ces paramètres, le choix du vendeur fait partie des plus importants. Choisir entre un mandataire et un concessionnaire peut être difficile ; ces deux entités, bien qu’œuvrant dans le même domaine, présentent des différences majeures.

Les prix des véhicules diffèrent

Le mandataire automobile est un intermédiaire qui achète les voitures neuves en grande quantité auprès des concessionnaires, en obtenant une certaine réduction. Le fait d’acheter une voiture neuve chez un mandataire automobile revient moins cher par rapport au concessionnaire. Le slogan des mandataires est souvent focalisé sur cet aspect financier plus attractif, avec des remises qui peuvent aller jusqu’à 20% du prix des concessionnaires.Chez le concessionnaire, le prix d’une voiture neuve se rapproche du prix de sortie d’usine tout en incluant certains frais supplémentaires comme les taxes et les frais de transport. Finalement, vous devrez vous munir d’une coquette somme, mais aussi savoir négocier avec les commerciaux afin de ne pas trop vous ruiner.

Les paramètres et l’aspect de la voiture

Le mandataire propose des voitures déjà configurées : des moteurs remplacés, peu de choix de couleurs, des changements effectués sur certaines pièces. Bien que la voiture soit neuve, les pièces ne sont pas forcément des pièces originales. Le client peut effectuer une commande en précisant ces spécifications, mais le prix augmentera.Le concessionnaire, de son côté, offre une multitude de choix tant pour les coloris, le moteur ou encore les configurations du véhicule. De plus, les concessionnaires sont souvent constructeurs et vendeurs ou des partenaires exclusives du constructeur. Les voitures qui y sont commercialisées sont des marques originales.

Les Services Après-Vente

Les mandataires automobiles sont souvent critiqués pour ces services, par exemple : le client n’a pas le droit de tester la voiture qu’il souhaite acheter. Le SAV reste assez vague avec des garanties de courtes durées, pas de prise en charge en cas de défaillance de la voiture et bien d’autres désagréments.Le concessionnaire quant à lui, propose une garantie d’environ 5 ans, une possibilité de retour et de remplacement de la voiture en cas de défaillance sur le modèle. Le garage du concessionnaire prendra en charge les visites et les réparations durant toute la durée de la garantie.Le mandataire automobile reste un choix intéressant à condition d’avoir une idée précise de la voiture à acheter et de ces spécifications. Le concessionnaire quant à lui demeure un choix avisé pour les profanes à la condition d’être prêt à dépenser un montant relativement conséquent.

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